La science économique se définit comme l’étude des mécanismes de production, de répartition, d’échange et de consommation des richesses.
Ce faisant, la science économique cherche à répondre à une question simple : comment satisfaire des besoins humains infinis dans un monde où les ressources sont par nature finies ?
Dans ce cadre, il est donc possible de dire que l’économie est la gestion de la rareté.
Afin de savoir en quoi la compréhension de l’économie est importante il suffit d’avoir en tête le syllogisme suivant :
Un des effets de la crise financière de 2007-2008 est une exigence accrue en terme de responsabilité de la part des banques. Dans ce cadre, plusieurs formes de finances souhaitent répondre à cette exigence de responsabilité. Ainsi, les finances dites "éthique" et "islamique" constituent des formes en plein essor. La finance islamique correspond par exemple, au niveau mondial, à près de 1000 milliards de dollars et représente en cela un gisement d'épargne non négligeable, même si cette épargne demeure marginale par rapport à l'ensemble des capitaux financiers mondiaux.
L'inde a connu un développement économique très rapide. En effet, le pays est passé d'une croissance moyenne de +3% par an dans les années 1970, à +7% dans les années 2000. Il fait maintenant parti des pays émergents parmi les plus dynamiques, communément regroupés sous l'acronyme "BRICS" : Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud. Le rattrapage économique du pays s'explique en grande partie par la mise en place de réformes libérales, rompant ainsi avec le modèle socialiste qui prévalait auparavant. Néanmoins, au regard de la situation économique actuelle et des caractéristiques du pays, il apparaît que l'évolution future du pays soit fortement contrainte et que des défis très importants et encore non solutionnés se présentent à lui.
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L'union européenne a récemment annoncé son intention de mettre en œuvre une initiative franco-allemande pour lutter contre le chômage des jeunes. Le but officiel est de trouver une solution de court terme face au chômage d'une population particulièrement touchée par la crise globale avec près d'un jeune sur deux sans emploi en Europe. Si l'idée peut paraître séduisante, il n'en demeure pas moins que les mesures, qui restent encore à entériner, ne sont pas à la hauteur d'un problème beaucoup plus global, et que les arrières pensées politiques et économiques sont la principale raison de cette initiative.
La commission européenne a récemment décidé d'augmenter les droits de douanes sur les importations de panneaux photovoltaïques en provenance de Chine. Pékin a engagé en retour des mesures de rétorsions à l'encontre de l'Union Européenne (UE) concernant les importations de vin. Toutes ces mesures procèdent d'un long processus de tensions commerciales accrues entre la Chine et l'UE. Les évènements actuels soulignent une étape supplémentaire vers une guerre commerciale car cette fois, les actes accompagnent les mots. En plus de faire apparaître des tensions vives entre les deux zones économiques, ces évènements mettent en évidence des faiblesses politiques de l'UE et des intérêts divergents profonds, sur fond d'enjeux géostratégiques.
Contrairement à la grande dépression des années 1930 où les banques centrales avaient été incapables de s'adapter à la situation, les autorités monétaires ont rapidement pris conscience de la gravité de la crise et ont développé des politiques d'assouplissement monétaires adéquates. Toutefois, ces politiques ont atteint leurs limites et des mesures non-conventionnelles se développent actuellement. Les autorités monétaires doivent arbitrer entre deux risques : (1) soit une situation d'inflation incontrôlée lorsque l'activité économique reprendra, ou alors (2) un risque de déflation qui hypothéquerait les chances de reprise.
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