"Un Economiste peut commettre deux erreurs, la première consiste à ne pas calculer et la seconde à croire en ce qu’il a calculé" - Michal KALECKI

"Lorsque circulent dans un pays deux monnaies dont l’une est considérée par le public comme bonne et l’autre mauvaise, la mauvaise chasse la bonne" - Sir Thomas GRESHAM

"Je crains le jour où la technologie dépassera nos relations humaines. Le monde aura une génération d'idiots " - Albert EINSTEIN

"Le plein-emploi ou même une situation voisine du plein-emploi est rare autant qu’éphémère" - John Maynard KEYNES

"Les investissements d'aujourd'hui sont les profits de demain et les emplois d'après demain" - Helmut SCHMIDT

"Les urgences ont toujours été le prétexte sur lequel les protections des libertés individuelles ont été érodé" - Friedrich HAYEK

"Sous le capitalisme, les gens ont davantage de voitures. Sous le socialisme, les gens ont davantage de parkings " - Winston CHURCHILL

"On ne peut devenir entrepreneur qu’en devenant auparavant débiteur. S’endetter appartient à l’essence de l’entreprise et n’a rien d’anormal" - Joseph SCHUMPETER

"En France quand on raisonne économiquement on est soupçonné de conspirer socialement" - Auteur indéterminé

"L'argent public n'existe pas, il n'y a que l'argent des contribuables" - Margaret THATCHER

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Economie des dépenses militaires

11 mai 2015

L'adage populaire veut qu'il n'y ait rien de mieux qu'une guerre pour relancer l'économie. Sans vouloir vérifier cette assertion, il convient cependant de souligner deux éléments : tout d'abord, si cela semble se vérifier historiquement, les expériences contemporaines viennent tempérer cette idée ; ensuite, cela ne peut être vrai que si la guerre ne dure pas trop longtemps, qu'elle ne s'avère pas trop destructrice, et surtout qu'elle se déroule loin du sol national. Quoi qu'il en soit, il convient de poser un cadre théorique permettant de mieux appréhender la légitimité et la pertinence des dépenses militaires.

Description

Le bulletin économique développe tout d'abord les deux principales approches économiques formant le corpus théorique des dépenses publiques militaires ; pour ensuite dans un second temps se concentrer sur les principales limites de la vision keynésienne dominante sur ce sujet.

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